La migration professionnelle et ses conséquences pour les pratiques RH
Les pénuries de main-d’oeuvre qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale ont incité la plupart des pays européens à « inviter » en grand nombre les travailleurs étrangers : l’Allemagne a accueilli des travailleurs de Turquie, d’Italie ou d’ex-Yougoslavie, tandis que la France est allée les chercher en Afrique du Nord, en Espagne ou en Italie. Dans le même temps et jusque dans les années 1970, l’Italie voyait partir plus de ses ressortissants vers des pays limitrophes prometteurs qu’elle n’accueillait d’étrangers. Les flux sont alors motivés et régulés par l’offre d’emploi : l’intérêt économique prévaut sur les éventuels impacts négatifs, qu’ils soient d’ordre démographique ou socio-économique.
Cette étude est réservée aux adhérents
Auteur(s) :

Anne BASTIEN
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Autre du 02 septembre 2015
Emploi – Formation – Compétences
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